jeudi 2 septembre 2010

Admirez !

Pour ceux qui n'ont pas accès à notre bande de données photographique, et pour combler le manque d'images des dernières entrées, voici quelques-unes des photos que nous avons prises au cours des dernières semaines.

Trujillo: nous y avons passé le plus clair de notre
temps avec Alex, le fils de Michell qui nous accueillait avec l'organisme Servas. Admirez la spontanéité du moment, devant le Museo de Juguetes où l'on présentait une collection du jouets antiques des quatres coin du monde.






Pastoruri: 5100 mètres. Les paysages étaient magnifiques, bien que le glacier qui constituait l'attrait principal du tour ressemblait plutôt à un tas de neige que l'on jette en été en dehors de l'aréna. Moi qui croyais que j'étais au dessus de l'altitude, mes oreilles ont failli exploser, de même que ma tête. Par chance, Audrey est moins ''fifi'' que moi et a eu la chance unique de pouvoir toucher le fameux tas de neige du bout du doigt...





De Lima à Huancayo: pas d'aventure rocambolesque, mais des paysages à couper le souffle.


L'aventure du Wawi Wawi: avec nos amis de Huancayo, nous sommes parties sur un go vers un petit village perdu près de la Grand'ville ! Après avoir dégusté un délicieux Ceviche de truite, nous avons longuement marché à travers les collines pour finalement se perdre dans une grotte profonde de laquelle on était les victimes parfaites des rejets du fameux Condor des Andes !!!













La Pachamanca: la famille d'un des volontaires nous a chaleureusement accueillie dans la maison de sa défunte mère. Nous y avons fait un feu, chanté des chansons jusqu'à 5h00 du matin et y avons cuisiné la Pachamanca. Huancayo est réputé pour sa Pachamanca, un plat de viande accompagnée de Choclo (mais), de fèves et de petites patates. C'est la cuisson de ce met typique qui le rend si appétissant:

On chauffe d'abord des pierres dans le feu jusqu'à ce qu'elles soient blanches. Pour éviter les explosions, on les aspergent d'eau salée. Visiblement, cette étape fut négligée puisqu'Audrey a vite reçue un projectile brulant dans le cou qui lui a laissé une marque rouge...Un peu comme une sucette...

Ensuite, on met les patates sur les pierres chaudes, puis la viande, les haricots et des tas d'herbes. J'irais même jusqu'à dire qu'ils ont mis le champ en entier sur le feu. On recouvre alors le tout de quelques sacs tissés puis de terre pour empêcher la fumée de s'échapper.

On laisse cuire la viande une heure avant de déterrer la nourriture, qui bien entendue se mange avec les mains. Les bourgeois ne peuvent même pas espérer goûter la Pachamanca avec une fourchette et un couteau dans un grand restaurant: la tradition, c'est la tradition !




Je vous laisse avec une magnifique photo d'Audrey. Vous remarquerez les couilles de porc qu'elle tient entre ses mains !!!

En espérant que vous en avez assez jusqu'à ce que me reprenne l'envie de m'installer 2 heures devant l'ordi ! Hi Hi !

3 commentaires:

  1. ¡Hola Mariana! Tus reportajes son muy interesantes y nos dan una muy buena idea de tus aventuras con Audreia, la acogida de la gente, el tipo de trabajo que hacen Uds., el modo de vida del pueblo, sus problemas, sus costumbres y sus esperanzas. Gracias por las fotos que ilustran perfectamente sus relatos. Creo que tienen Uds. mucho coraje para seguir explorando estos países y que la calidad de sus encuentros son la recompensa de sus esfuerzos. ¡Que tengan suerte, salud y buen tiempo! Seguiré leyendo tus escritos con mucho interés. Besos y abrazos de René.

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  2. Salut ma chouette...
    Juste un mot pour vous dire que je vous admire toi et Audrey.
    Les enfants savent rendre au centuple ce qu'on leur a donné. Vous en êtes bien la preuve.
    Lâchez-pas, on vous suit.
    El Papa de Mariana.

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  3. Tio René ! Que lindo español ! Seguramente hablaremos juntos cuando regresaré ! Gracias para lo que me escribiste ! Abrazos !

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